La prochaine biennale du livre de Châteaudun se prépare activement.

Nous vous attendons le dimanche 26 novembre 2023 de 10h à 18h, toujours à l'Espace Malraux de Châteaudun.

cliquez ici pour voir l'article de la radio et écouter les interviews

Il a passé une partie de son enfance à Châteaudun dont il garde un émouvant souvenir. Sa famille paternelle est originaire d'Illiers-Combray.

Après le concours de l’École normale supérieure, il devient professeur de lettres. Fasciné par la musique de Serge Prokofiev, dont le rythme inspire son travail artistique, il se lie d'amitié avec la femme du compositeur, Lina Prokofiev, avant sa mort en 1988. Il publie un premier roman en 1995, La Chambre d'Amour (Arléa), très remarqué par la critique. Le livre, adapté par l'auteur sur France Culture, obtient le Grand Prix international de la fiction radiophonique face à Nancy Huston en 1999.

Il obtient le Grand Prix de la nouvelle de l'Académie française en juin 2010.

Frédéric Mitterrand, ministre de la Culture, le nomme chevalier des Arts et des Lettres en juillet 2010 et lui remet personnellement ses insignes.

Amateur de sports extrêmes, il parcourt l'Europe à vélo et traverse à pied des chaînes de montagnes : Alpes, Pyrénées, Corse, pics d'Europe, Haut Atlas.

Derniers polars publiés : La Prophétie de la cathédrale, La Petite Fille du phare, Mortelle Tentation. Soleils de sang.

ATTENTION Article inachevé

Petite présentation du comité d'organisation :

Jean-Philippe Noblet participe également aux choix des auteurs lors des réunions du comité d'organisation. Il est responsable de la communication sur internet et sur les réseaux sociaux. Il anime au micro les tables rondes et conférences de la biennale.

Photo de Hubert Limet, JP Noblet au micro de la radio Intensité.

La biennale du livre ne pourrait pas exister sans la Librairie du Coin. Chaque membre de la librairie recherche des auteurs, participe à chaque étape de l'organisation.

 Nathalie Vasseur de la librairie du Coin

Biographie d’Etienne EGRET

     Etienne Egret, natif de Voves, quitte cette ville pour raison scolaire. Il y reviendra quatorze ans plus tard pour raisons professionnelles.

     Entre les deux, le service militaire et la guerre d’Algérie marqueront sa vie. De retour à Voves, il milite au sein du monde ancien combattant. Au fil des années, il assumera des responsabilités tant locales que départementales.

    Il est actuellement secrétaire mémoire du Comité du Souvenir du Camp de Voves, dont le but est de perpétuer la mémoire des anciens internés du camp et de maintenir leur souvenir, ce qui lui vaut d’intervenir auprès de tout public lors de ‘’causeries’’, de conférences, de visites, d’expositions tant sur le site du camp de Voves qu’en dehors, mais aussi auprès de scolaires.

     Ses recherches ont permis de reconstituer en grande partie la vie du camp et de ses internés.

      Il est l’un des deux représentants du comité à siéger au conseil d’administration de l’Amicale de Châteaubriant - Voves - Rouillé - Aincourt.

Il siège également au sein du Conseil Départemental d’Eure-et-Loir de l’ONAC-VG (Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre).

     Il est auteur d’articles dans des journaux d’associations d’anciens combattants. Après le décès d’André Migdal (ancien interné au camp et déporté), écrit pendant six ans en duo, puis seul depuis huit années l’évocation historique et poétique donnée lors de la cérémonie annuelle du souvenir qui se déroule sur le site du camp.

       Il est l’auteur de : ‘’Ami entends-tu ?’’, une brochure consacrée au camp de Voves qui, en 2020 a été adaptée par ‘’les bibliothèques sonores ‘’ de Paris pour les mal voyants.

    Il est co-auteur avec Dominique Philippe de : ‘’Voves 1942-1944 un camp en Eure-et-Loir’’, ‘’prix du manuscrit de la Beauce et du Dunois’’ 2018 et de ‘’Voves 1942-1944 - l’Université : Culture et Résistance’’.

Biographie (très, très succincte) de Dominique PHILIPPE

   Docteur en histoire, il enseigne à Angers. Outre les deux ouvrages écrits en coopération avec Etienne Egret il est auteur, seul ou en coopération, de plusieurs livres consacrés la Résistance et à la Déportation pendant la période 1939/1945. Ses élèves participent régulièrement à des travaux sur la mémoire ainsi qu’au Concours National de la Résistance et de la Déportation.

Rien n’arrive par hasard. Pour faire une ville, il faut de l’eau, de la pierre et du bois. Pour faire des livres, il faut davantage : il faut des villes, des voyages, des rencontres, des émotions, des blessures ou des triomphes, il faut une soif de contrastes et ressentir le besoin d’exprimer par la littérature que la vie ne suffit pas ; comme pour la cuisine, le sport ou la musique, on y ajoutera un soupçon de magie.

Je suis né à une époque située entre l’extinction des dinosaures et l’apparition des smart phones. J’ai tout de suite été viable, on m’a donné un prénom d’écrivain (mes parents, persuadés d’attendre une fille, s’occupaient en lisant Vipère au poing. Il a fallu trouver un prénom en urgence) et une éducation au grand air qui sont les deux constantes tangibles d’une émancipation réussie. J’ai grandi dans une île, en slip comme Tarzan, et mon héros, c’est Mowgli, définitivement. Je nage comme un poisson et j’ai une mémoire de moineau. A huit ans, je lisais Rudward Kipling perché dans les arbres, je fumais des lianes comme les hommes, je construisais des cabanes qui faisaient peur aux loups. Aujourd’hui, je continue à courir pieds nus dans les cailloux et à grimper dans les cimes pour rien, juste pour le plaisir de regarder loin.

J’ai aussi vécu dans les villes, j’ai fait le tour des boulevards Périphériques en moto, j’ai attendu l’heure de la sortie, j’ai trainé dans des aéroports en écrivant des livres de voyage, j’ai réparé des maisons, déchargé des camions, bricolé des moteurs, mis des fleurs dans des vases. J’aime la vitesse, la musique, le soleil et les chiens abandonnés et mouillés de pluie. J’aime capturer des serpents et les brandir dans la lumière, nager dans les lacs glacés des montagnes. On m’a dit de faire dans la vie ce que je savais faire de mieux, je m’y emploie chaque jour : je tape sur les petites touches d’un ordinateur, je regarde vivre mes enfants, je regarde les saisons, les bateaux et les nuages qui passent, je prends soin des autres… je tue le temps mais jamais les insectes, ni les taupes, ni les plantes.

A-t-on besoin d’en savoir plus ? 

"Eva Joyce est une auteure passionnée de thriller, de fantastique et de fantasy. C’est seulement au lycée qu’elle découvre un goût certain pour la lecture, puis en faculté d’Histoire de l’art qu’elle pose sur le papier quelques idées de roman.Après de nombreuses années d’hésitation, elle monte sa maison d’édition en 2021 (Les Editions Wonderland) pour officiellement sortir son premier livre : TRAUM tome 1 – Le Rapt de Proserpine. Cet ouvrage synthétise plusieurs de ses centres d’intérêt entre références artistiques, psychologie, vampirisme et lycanthropie !
Aujourd’hui ses projets sont multiples : elle concoure pour participer à des recueils de nouvelles chez différentes maisons d’éditions ; elle travaille en collaboration avec l’association Les Podcasts du Perche (chez qui elle avait déjà été interviewée dans leur podcast « Je me livre ») pour la création d’un nouveau podcast intitulé « Sang pour Sang Eva » qui sera centré sur la conception du tome 1 de TRAUM ; enfin elle prépare également la sortie de TRAUM tome 2 – La Tour de B.A.A.B.E.L. qui paraîtra en 2022."