• Programme des animations 2019


  • Dans le hall de l'Espace Malraux, retrouvez des jeux de société...

    Une présentation de jeux de société à la biennale



  • Plus d'infos sur la Biennale du livre de Châteaudun sur la site de la Radio Intensité

    https://intensite.net/2009/agenda/chateaudun-7e-biennale-du-livre-300798

    La Radio Intensité a toujours été un partenaire de la biennale du livre


  • Biographie d’Etienne EGRET

     

         Etienne Egret, natif de Voves, quitte cette ville pour raison scolaire. Il y reviendra quatorze ans plus tard pour raisons professionnelles.

         Entre les deux, le service militaire et la guerre d’Algérie marqueront sa vie. De retour à Voves, il milite au sein du monde ancien combattant. Au fil des années, il assumera des responsabilités tant locales que départementales.

        Il est actuellement secrétaire mémoire du Comité du Souvenir du Camp de Voves, dont le but est de perpétuer la mémoire des anciens internés du camp et de maintenir leur souvenir, ce qui lui vaut d’intervenir auprès de tout public lors de ‘’causeries’’, de conférences, de visites, d’expositions tant sur le site du camp de Voves qu’en dehors, mais aussi auprès de scolaires.

         Ses recherches ont permis de reconstituer en grande partie la vie du camp et de ses internés.

          Il est l’un des deux représentants du comité à siéger au conseil d’administration de l’Amicale de Châteaubriant – Voves – Rouillé – Aincourt.

     

         Il est auteur d’articles dans des journaux d’associations d’anciens combattants. Après le décès d’André Migdal (ancien interné au camp et déporté), écrit pendant six ans en duo, puis seul depuis sept années l’évocation historique et poétique donnée lors de la cérémonie annuelle du souvenir qui se déroule sur le site du camp.

           Il est également l’auteur de : ‘’Ami entends-tu ?’’, une brochure consacrée au camp de Voves et co-auteur avec Dominique Philippe de : ‘’Voves 1942-1944 un camp en Eure-et-Loir’’.

    Etienne Egret à la biennale de Châteaudun


  • Photo Romain Léna

     

    GILLES BORNAIS

    Gilles Bornais a été entraîneur de natation et journaliste, successivement reporter sportif au Parisien, rédacteur en chef et directeur général de l’Echo Républicain, rédacteur en chef au Parisien et directeur de la rédaction de France Soir. Il est aujourd’hui consultant dans la presse, et a publié douze romans et un essai, dont J’ai toujours aimé ma femme, et Une Nuit d’orage (Fayard) finaliste du Prix du roman noir de Cognac, dont l’action se situe à Chateaudun, ainsi qu’une série de romans policiers historiques ayant pour cadre l’Angleterre et l’Ecosse victorienne. Le premier d’entre eux,  Le Diable de Glasgow, a obtenu le prix Griffe Noire du meilleur polar français. Le Sang des Highlands (City édition), sixième opus des enquêtes de Joe Hackney ainsi qu’un essai sur les nageurs et la natation (Le Nageur et ses démons, édition François Bourin) sont parus cette année.

    Son dernier livre "Le Nageur et ses Démons" (Editions François-Bourin) avait obtenu le Prix du Document sportif décerné par l'Association des Ecrivains Sportifs (Prix du Comité National Olympique). Il me sera remis en décembre.



  • Henri Kaminska est né à Moulins en Auvergne. Il passe son enfance à Pierrefitte-sur-Loire, petit village de l'Allier. Enfant, Il est placé dans une famille d'accueil, modeste mais aimante et vit au rythme des saisons, du travail des champs, des cours du maître d'école... Il découvre la montagne bourbonnaise, l'océan, l'Île de Ré, la vie au pensionnat dans la ville de Guéret. Il a évoqué ses souvenirs d'enfance dans un roman autobiographique "Mes années aux Louées" (Éditions du Loir- juillet 2018) où il décrit avec réalisme et humour la vie à la campagne dans les années 50. Son livre a gagné le prix Daniel BAYON en juin dernier. Créé en 1998, en mémoire de l'écrivain autodidacte du pays Jalignois, le prix Daniel Bayon est décerné à un ouvrage qui porte témoignage d'un moment de vie en Bourbonnais et présente une originalité méritant d'être signalée. La guerre d'Algérie viendra mettre un terme à cette période de relative insouciance. Après un début de carrière comme ouvrier ajusteur dans l'industrie automobile, il devient professeur d'enseignement technique en région parisienne en 1971. Il quitte l'Éducation nationale en 2002 après avoir occupé le poste de principal de collège. Il partage son temps entre la ville de Chartres et le village de Bouville. 
    Homme d'engagement et de conviction, Henri s'investit en politique au plan local.


    Il travaille actuellement à la suite de "Mes années aux Louées".